Les jardins partagés
» Le jardin partagé est un projet du FJEP (Foyer des Jeunes et d’Education Populaire). Le terrain a été prêté par la mairie. Le club ados a beaucoup fait avancer le projet par sa participation et le programme « 100% gagnant » de la CAF, élaboré par les jeunes de la salle ados, subventionné par la Caf et appuyé par la mairie.
En février 2021, nous avons travaillé en partenariat avec les employés communaux d’Alairac pour mettre en place notre jardin partagé ou toutes les générations du village peuvent se rencontrer.
Les villageois peuvent louer une parcelle pour ensuite créer leur potager. Un règlement intérieur signé par les locataires fixe les règles d’utilisation du site. En particulier, l’usage de produits chimiques y est prohibé. »
Qu’est ce que la Permaculture ?
Forgé au milieu des années 1970 par l’Australien Bill Mollison, le terme « permaculture » est une contraction de « permanent » et « agriculture ». Il peut aussi s’entendre comme « culture de la permanence ».
C’est avec son collègue et ami David Holmgren, de l’université de Tasmanie, que Bill Mollison va en déterminer les principes dans leur ouvrage Permaculture 1.
Tous deux réagissent aux dégradations de l’environnement causées par une agriculture conventionnelle qui se soucie peu du vivant et ne voit les sols que comme un support.
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En pratique :
Utilisation de la technique des buttes en ” lasagnes”, une couche de déchets verts, une couche de déchets carbonés, en alternance.
Comment réaliser un jardin en trou de serrure ?
( key hole en anglais )
Le potager surélevé forme un cercle d’un diamètre variant de 1 à 3 m maximum.
Son centre comporte un cylindre grillagé, ou « panier », de 0,50 à 1 m de diamètre, conçu pour recevoir les déchets compostables. Un passage situé de préférence au nord interrompt le cercle pour permettre l’accès, d’où la forme de ce jardin dit « en trou de serrure ».
Le tour du potager peut être constitué d’un muret de pierre, pas forcément très épais, ou de tôle en acier ou en inox ou encore en béton, s’élevant sur une hauteur d’environ 1 m de manière à épargner le dos du jardinier. La zone cultivée, basée sur la technique des “lasagnes” forme une pente vers les bords externes pour augmenter la surface et améliorer l’exposition.
